top of page
menuplaisir.jpg

Menu plaisir

Création en décembre 1989 à l'hôtel Lutetia à Paris.

Théâtre d'Auch, Théâtre de la Digue (Toulouse), Scène nationale d’Albi.

Mise en scène Patrick Abejean,

Assisté par Hélène Sarrazin.

Avec : Waki Meier, Hélène Sarrazin, Cécile Guillot, Lole Gessler, Francis Azéma, Jean-Marie Doat

Les spectateurs sont conduits à travers les lieux de la représentation par six personnages qui mettent tout en oeuvre pour la réussite d'une impossible "fête gourmande".

 

Le périple est jalonné d'indices visuels, sonores et odorants (en collaboration avec ASQUALI - Sculpteurs d'arômes).

Petits fours, grand succès.

L’humour, frisant le noir, est présent, ainsi que les belles lettres pointant, entre deux recettes, sous forme de dictons.

M-J. Simpson Le Nouvel Observateur

 

Les Cyranoïaques préfèrent aux prises d’otages les prises de poids.

Un divertissement raffiné avec en apothéose le sacrifice symbolique d’une jolie poule rousse, à l’inéluctable destin de poule-au-pot…

BL L’Idiot international

 

Avec eux le spectateur n’existe plus. Et le spectacle non plus. L’invité (c’est le terme le plus adapté) baigne dans l’incident, dans l’événement qui se produit autour de lui, en fonction de lui, interfère avec lui. Une invention sidérante.

À côté de ce petit prodige qui, à lui seul, provoque le ravissement, ils sont parvenus à dresser un portrait à la fois complice et cruel du monde associatif.

Les spectateurs sont baladés et découvrent, presque par hasard les personnages au fil de leur pérégrination , dans une ambiance odorante comme autant d’indices.

Peu à peu, au travers de leur rapport à l’alimentation, on perce leur personnalité en accumulant les petits détails, les petits riens tellement vrais jusqu’à faire exploser leurs obsessions.

On en sort complètement sous le charme se demandant si, dans la rue, sous la pluie fine, on est bien sorti de la pièce ou si ça continue, comme dans ces rêves qui n’en finissent plus.

P- S Sarrat La Dépêche 

 

Maxi Plaisir

Dans ce dédale parfumé d’arômes surprenants les spectateurs s’acheminent lentement pour un dîner imaginaire que la succession des situations burlesques qu’ils rencontrent rend aussi improbable que délicieux.

P.V.D Figaroscope

 

Pas facile quand la gourmande rencontre la diététicienne, l’intellectuel la cuisinière traditionnelle…

L’Express

 

Dur supplice pour les gourmands d’autant plus que d’odoriférantes effluves s’échappent des couloirs tout au long de notre traversée culinaire… car le fumet fait partie du décor.

M-J Lespinasse 7 à Paris

 

À tous points de vue Les Cyranoïaques sont des chefs !

Sud-Ouest

 

De la cave à la salle à manger, un spectacle à l’humour savoureux.

R. Bud-printemps Le Figaro Magazine

bottom of page